Syndrome de la colonne cervicale - Comment vous serez aidé!

Synonymes

• Syndrome de la colonne cervicale
• Syndrome cervical
• Problèmes chroniques de la colonne cervicale
• La douleur du cou
• Cervicalgie
• Cervicobrachialgie

introduction

De plus en plus de personnes souffrent de douleurs aiguës ou chroniques au niveau de la colonne cervicale.

Les raisons en sont diverses. L'une des principales raisons est certainement à voir dans le fait que de plus en plus de gens passent aujourd'hui une grande partie de leur temps assis. Le travail sur ordinateur, la télévision fréquente, les longs trajets en voiture - tout cela contribue de manière significative au fait que les maux de dos en général, et en particulier les douleurs de la colonne cervicale, ont augmenté rapidement ces dernières années.

causes

Dans la plupart des cas, les causes d'un syndrome de la colonne cervicale résident dans les divers composants du système musculo-squelettique de la colonne cervicale. Cette partie du dos est la plus flexible et donc également sujette à l'usure sur les articulations du corps vertébral et les attaches osseuses sur les bords du corps vertébral.

Chez les personnes plus jeunes en particulier, la tension musculaire au niveau du cou ou des épaules est la cause la plus fréquente de plaintes liées au complexe du syndrome de la colonne cervicale. Cela peut à son tour être causé par une mauvaise posture, une assise fréquente et longue et un manque d'activité physique par le sport.

Un autre facteur à ne pas sous-estimer dans le développement d'un syndrome de la colonne cervicale est le stress, qui peut également déclencher ou favoriser une tension musculaire.

Les causes plus rares sont, par exemple, les changements inflammatoires dus à une infection ou à une maladie rhumatismale.

De plus, un syndrome de la colonne cervicale peut se développer à la suite d'un accident antérieur (par exemple, coup du lapin après une collision arrière ou des blessures sportives) ou après une opération de la colonne cervicale. Une posture unilatérale ou des mouvements au travail peuvent également entraîner les symptômes typiques d'un syndrome de la colonne cervicale, tout comme un mauvais positionnement de la tête pendant le sommeil.

Une hernie discale dans la colonne cervicale est rarement la cause d'un syndrome de la colonne cervicale.

Lisez beaucoup plus d'informations sous notre sujet:

• Causes du syndrome de la colonne cervicale

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La colonne vertébrale est difficile à traiter. D'une part, il est exposé à des charges mécaniques élevées, d'autre part, il a une grande mobilité.

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Aperçu des maladies pouvant provoquer un syndrome de la colonne cervicale

Les maladies suivantes de la colonne cervicale peuvent entraîner un syndrome de la colonne cervicale:

• Maladies dégénératives de la colonne vertébrale
• Sténose du canal rachidien (sténose du canal rachidien de la colonne cervicale)
• Syndrome de la facette
• Ostéochondrose
• Hernie discale de la colonne cervicale
• Protrusion discale de la colonne cervicale (saillie de la colonne cervicale)
• Blocages (dysfonctionnement segmentaire)
• Whiplash (distorsion de la colonne cervicale)
• Troubles de la tension musculaire
• Trouble douloureux somatoforme
• La fibromyalgie
• et beaucoup plus

Causes dues à l'usure

Les causes d'usure de la colonne vertébrale représentent un défi majeur pour toutes les personnes impliquées. Les patients sont souvent en proie à des plaintes depuis longtemps et les muscles sont donc devenus plus courts en raison de la tension constante. La thérapie ici est très complexe. La thérapie commence immédiatement après la disparition des symptômes. Étant donné que l'usure ne peut être inversée, les personnes touchées courent le risque de rechute à tout moment. Le but des traitements est de renforcer le dos, car seuls des muscles forts peuvent stabiliser la colonne vertébrale. Une coopération et une initiative actives peuvent avoir un effet très positif sur le processus et aboutir à une libération plus rapide des symptômes.

Hernie discale de la colonne cervicale

Comme pour les autres causes du syndrome de la colonne cervicale, l'évolution de la hernie discale est également très variable. Encore une fois, de nombreux facteurs et l'étendue de la hernie discale jouent un rôle majeur. Les chances de succès de la thérapie sont très élevées, mais le cours est souvent prolongé, une durée de traitement de 3-6 mois est réaliste. En outre, il y a eu des rapports de guérison spontanée des personnes touchées par la réduction de la hernie discale, d'autre part également des cas de dommages permanents aux nerfs ou aux vaisseaux qui ne peuvent plus être guéris et obligent le patient à subir des traitements à vie.

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• Progression d'une hernie discale

Causes mentales

Les causes psychologiques peuvent également être traitées physiquement par la chaleur ou la physiothérapie. Cependant, l'élimination des causes émotionnelles est ici extrêmement importante. Les personnes souffrant de stress peuvent utiliser des méthodes de relaxation, de la psychothérapie ou des méthodes telles que le biofeedback pour traiter leurs plaintes ou pour résoudre leurs conflits internes. Ces approches thérapeutiques sont à très long terme et leur durée ne peut souvent pas être estimée à l'avance. Dans le cas de problèmes psychologiques majeurs, un traitement psychologique approfondi peut souvent être nécessaire. Cette thérapie vise à découvrir des conflits profonds chez les personnes, qui sont physiquement visibles ici dans le syndrome de la colonne cervicale. La profondeur décrit ici à la fois la profondeur de la psyché et la profondeur du temps. Dans le cas extrême, les événements inconscients sont traités jusqu'à la petite enfance. Cette thérapie est très longue et, à court terme, elle échoue souvent.

En résumé, il ressort du texte au plus tard qu'il n'y a pas de période fixe pendant laquelle on peut être libéré du syndrome de la colonne cervicale. Le soulagement de la douleur est souvent très rapide et le traitement de la cause peut être très fastidieux. La thérapie comprend trop de composants (physiothérapie, pharmacothérapie, applications de chaleur et de froid jusqu'à la thérapie psychologique) pour pouvoir faire une déclaration exacte sur la durée. Les personnes touchées elles-mêmes peuvent cependant avoir une influence positive sur l'évolution individuelle de la maladie en renforçant leur dos, en résolvant d'éventuels problèmes émotionnels et en repensant continuellement leurs habitudes pour être plus respectueuses du dos afin de devenir et de rester aussi asymptomatiques que possible.

Figure syndrome de la colonne cervicale

1er - 3e - colonne cervicale (colonne cervicale)

1. Première vertèbre cervicale (porteuse) -
   Atlas
2. Deuxième vertèbre cervicale (retourneur) -
   Axe
3. Septième vertèbre cervicale -
   Vertèbre proéminente
4. Première vertèbre thoracique -
   Vertèbre thoracique I
5. Coin d'épaule - Acromion
6. Tête humérus - Caput humeri
7. Omoplate - Omoplate
8. Humérus - Humérus
9. Douzième vertèbre thoracique -
   Vertèbre thoracique XII
10. L'os pariétal - L'os pariétal
11. Cerveau - Télencéphale
12. Cervelet - Cervelet
    A - arrière de la tête
    B - cou
    C - épaule
    D - bras supérieur

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Symptômes

Le terme syndrome de la colonne cervicale englobe diverses conditions douloureuses peu claires dans la colonne cervicale. Les symptômes communs possibles du syndrome de la colonne cervicale sont, par exemple, des douleurs dans la région du cou et des épaules et également des douleurs au cou et au dos, qui sont principalement causées par une tension ou un durcissement des muscles (tension musculaire).
Cette douleur peut être brûlante ou tiraillante et peut s'étendre à l'intérieur des omoplates et à l'arrière de la tête. La douleur augmente souvent avec les mouvements de la tête. Le durcissement de la région des épaules et du cou peut entraîner une posture tordue, ce qui entraîne une tension supplémentaire dans les muscles.

La raideur de la nuque et la douleur lors du déplacement de la tête peuvent également indiquer un syndrome de la colonne cervicale. Dans certains cas, des maux de tête qui se propagent derrière le crâne (céphalées de tension) peuvent être un symptôme du syndrome de la colonne cervicale.
Le syndrome de la colonne cervicale peut également entraîner temporairement des crises de migraine, des troubles du sommeil, une agitation relative et une fatigue extrême.
Aux premiers stades de la maladie, les symptômes n'apparaissent que rarement et pendant une courte période, généralement ils sont déclenchés par certains mouvements de la tête. À des stades plus avancés, la douleur peut également survenir au repos et la nuit et devenir ainsi chronique. La personne touchée est souvent sévèrement limitée dans la vie quotidienne par les symptômes du syndrome de la colonne cervicale.

Des bruits dans les oreilles, des étourdissements, des troubles de l'équilibre, des difficultés de déglutition, des nausées et des troubles visuels sont également décrits. Ces symptômes surviennent souvent dans des situations stressantes ou stressantes.
Si une compression nerveuse ou une irritation est responsable du syndrome de la colonne cervicale, cela peut entraîner un engourdissement et des troubles sensoriels (par exemple des «fourmis fourmis» dans les bras ou la tête).

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En outre, les blocages dans le syndrome de la colonne cervicale peuvent également affecter le système nerveux autonome, ce qui peut entraîner une augmentation de la transpiration, des palpitations et de la nervosité.
Dans certains cas, au stade avancé du syndrome de la colonne cervicale, des sentiments de faiblesse et une réduction de la force peuvent survenir, dans des cas extrêmes jusqu'à la paralysie.

Si le syndrome de la colonne cervicale est causé par un coup du lapin ou une blessure sportive, il n'y a souvent aucun symptôme au début. Il peut arriver que les céphalées cervicales et occipitales n'apparaissent que des jours ou des mois plus tard et que la mobilité de la colonne cervicale soit de plus en plus restreinte. La nuque raide est souvent accompagnée de maux de tête sévères.

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Symptômes concomitants

Syndrome de la colonne cervicale et maux de tête

Les maux de tête associés à des étourdissements ne sont pas un symptôme rare du syndrome de la colonne cervicale. La tension musculaire dans la région du cou et des épaules peut entraîner de graves maux de tête. La raison en est souvent que la tension musculaire irrite les méninges, qui sont très énervées et réagissent avec des symptômes de douleur. D'autre part, les maux de tête accompagnés de vertiges peuvent également être causés par un trouble circulatoire. Même de petits désalignements et des tensions dans la région des vertèbres cervicales peuvent altérer l'apport sanguin au cerveau et aux organes sensoriels, ce qui peut déclencher des maux de tête et même des migraines.
La thérapie pour ces symptômes consiste en une combinaison de physiothérapie pour relâcher et renforcer les muscles du cou, ainsi que des massages et des traitements médicamenteux pour soulager la douleur et détendre les muscles.

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Syndrome de la colonne cervicale et étourdissements

Le symptôme de vertige dans le syndrome de la colonne cervicale est souvent associé à une démarche instable ou à une sensation de position perturbée dans l'espace. Les étourdissements augmentent avec les mouvements ou après une posture de tête tendue et prolongée et des douleurs parallèles se produisent souvent dans la région du cou.
Les étourdissements causés par le syndrome du rachis cervical peuvent durer seulement quelques minutes ou s'étirer pendant plusieurs heures. Certaines cellules sensorielles et nerveuses transmettent des informations des muscles et des tendons de l'épaule et du cou aux organes de l'équilibre.
À chaque changement de position ou de posture des muscles, le cerveau peut réguler l'équilibre et l'orientation spatiale. Des tensions dans les muscles du cou, des hernies discales dans la colonne cervicale ou d'autres déclencheurs du syndrome de la colonne cervicale peuvent interférer avec l'échange d'informations entre les cellules sensorielles et les organes d'équilibre, provoquant des étourdissements.
Le diagnostic de vertige causé par un syndrome de la colonne cervicale est dans la plupart des cas un diagnostic d'exclusion, car de nombreuses autres causes de symptômes de vertige doivent d'abord être clarifiées. Le traitement des étourdissements peut être très différent selon la cause; la relaxation de la tension dans les muscles des épaules et du cou améliore généralement les symptômes d'étourdissements en peu de temps.
Les médicaments anti-inflammatoires et analgésiques associés à des exercices de physiothérapie, d'acupuncture, de neurothérapie ou de massages peuvent également améliorer le vertige causé par un syndrome de la colonne cervicale.

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Syndrome de la colonne cervicale et nausées

Les conséquences d'un syndrome de la colonne cervicale peuvent être très complexes. Les plaintes typiques sont avant tout des maux de gorge et des douleurs au cou, Troubles visuels, Maux de tête et vertiges. Bien que moins souvent, des nausées sont également décrites dans certains cas. Dans de nombreux cas, cela doit être évalué à la suite du vertige. Il y a donc souvent une combinaison Maux de tête avec nausées

De même, il est possible que la nausée soit une réaction végétative du corps au Douleur Cela se produit souvent avec des maux de tête sévères ou persistants.

Étant donné que les symptômes de vertige en particulier sont difficiles à traiter, le traitement des nausées dans le syndrome de la colonne cervicale commence par un Élimination de la douleur sur. Par exemple, cela peut être fait en utilisant Analgésiques comme le paracétamol ou l'ibuprofène. Opioïdes faibles comme le tramadol ou Tilidine doivent être utilisés avec prudence car ils risquent d'aggraver la nausée. Afin de prendre des mesures ciblées contre les nausées, les antiémétiques (Médicaments contre la nausée) comme Vomex (Dimenhydrinate) ou États Unis (Alizapride) à l'élimination.

Syndrome de la colonne cervicale et déficience visuelle

Les troubles visuels sont des changements pathologiques de la perception optique. Les troubles visuels peuvent se manifester, par exemple, par des yeux scintillants, une acuité visuelle réduite, un champ visuel restreint ou une vision double.

Avec le syndrome de la colonne cervicale, il y a parfois des troubles visuels associés à une crise de migraine. En plus des maux de tête sévères, des éclairs de lumière ou des yeux scintillants peuvent survenir.
Les troubles visuels qui surviennent dans un syndrome de la colonne cervicale sont principalement causés par des troubles circulatoires dans le cerveau, par exemple déclenchés par un rétrécissement d'une artère dans les vertèbres cervicales. Deux petites artères vertébrales traversent à droite et à gauche un canal osseux dans la colonne cervicale et alimentent le cerveau en sang oxygéné. Dans le cas d'un syndrome de la colonne cervicale avec rétrécissement de l'une des deux artères, en particulier avec des rotations extrêmes de la tête, des troubles circulatoires et donc une alimentation insuffisante du cerveau peuvent survenir, ce qui peut déclencher des troubles visuels.
Une hernie discale dans la colonne cervicale peut provoquer des troubles visuels en plus de nombreux symptômes différents (tels que paralysie des bras, engourdissement ou picotements). En général, les troubles visuels du syndrome de la colonne cervicale sont un symptôme assez rare et surviennent en particulier dans des situations de stress psychologique.

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difficultés à avaler

La difficulté à avaler peut être un symptôme du syndrome de la colonne cervicale. Par conséquent, si vous avez des difficultés à avaler, vous devez toujours exclure un problème avec la colonne cervicale.

D'une part, un acte de déglutition en douceur nécessite un squelette fonctionnel afin que, par exemple, la mâchoire puisse bouger librement. Si la colonne cervicale est modifiée suite à un accident, une mauvaise posture ou une usure (dégénérescence), la position de la mâchoire et de l'articulation temporo-mandibulaire peut également être modifiée, ce qui rend l'acte de déglutition difficile voire douloureux.
De plus, dans le cadre d'un syndrome de la colonne cervicale, les ostéophytes peuvent provenir de la colonne cervicale et provoquer des problèmes de déglutition. Ces augmentations des corps vertébraux peuvent contracter mécaniquement l'œsophage.
De plus, en raison de processus inflammatoires dans la colonne cervicale, le gonflement des tissus environnants peut entraîner des restrictions mécaniques lors de la déglutition. Parfois, ces coureurs sont perçus par le patient comme une sensation de corps étranger.

Une autre possibilité de difficultés de déglutition en combinaison avec une douleur soudaine au cou et une raideur de la nuque pourrait être la calcification tendineuse du muscle directement devant la colonne cervicale (M. longus colli). Cette calcification tendineuse peut survenir au cours d'un syndrome de la colonne cervicale. La calcification du tendon s'accompagne d'un processus inflammatoire. Cette inflammation peut se propager aux muscles de la gorge, qui sont très importants pour le processus de déglutition.
Cela peut provoquer des spasmes musculaires et des douleurs dans la gorge lors de la déglutition.

Syndrome de la colonne cervicale et durcissement musculaire

La liste des symptômes pouvant être déclenchés par le syndrome de la colonne cervicale est assez longue. Outre les maux de gorge et les douleurs au cou, les étourdissements et les maux de tête sont également les soi-disant Myogélose symptômes très typiques du syndrome cervical. Il s'agit d'un durcissement circonscrit des muscles. Les termes d'argot courants sont Serrage dur ou Callosité. Ils s'expriment comme douloureux à la pression, de la taille d'une olive, courant le long de la direction des fibres du muscle Indurations et se trouvent principalement sur les zones musculaires fortement sollicitées, telles que les muscles droits du dos. En raison de la douleur causée par le syndrome de la colonne cervicale, les patients en prennent souvent des artifices Postures de soulagement de la ceinture scapulaire et de la région du rachis cervical. En réponse à cela Chargement incorrect des myogéloses peuvent également se former ici. Ils sont généralement traités d'abord avec des massages et des exercices de physiothérapie. De plus, ou si la thérapie échoue, vous pouvez également Anti douleur ou Relaxants musculaires (Médicaments pour détendre les muscles) peut être utilisé. L'un est également utile Thérapie thermique avec une lumière rouge ou des oreillers et des compresses chaudes.

Syndrome de la colonne cervicale et hypertension artérielle

Le phénomène que le Pression artérielle gouttes quand un chiropraticien fléchit une vertèbre cervicale est connue depuis longtemps. Cependant, il a fallu un certain temps pour comprendre comment le faire hypertension artérielle (hypertension) à Syndrome de la colonne cervicale peut venir. Dans l'intervalle, il a été constaté que les muscles du cou sont connectés à une zone du cerveau, qui est un Fonction de contrôle sur la pression artérielle, la respiration et le rythme cardiaque des exercices. Par exemple, la tension dans les muscles de l'épaule et du cou dans le cas d'un syndrome de la colonne cervicale peut envoyer des signaux inhabituels à cette zone du cerveau et influencer ainsi la pression artérielle.

Les muscles du cou jouent un rôle important dans l'évaluation de la position du corps dans l'espace. Même de petits changements de posture sont transmis au cerveau par les muscles du cou. En cas de syndrome de la colonne cervicale, la communication entre le cerveau et les muscles du cou est perturbée et des informations incorrectes sont transmises. Pour cette raison, des symptômes et des plaintes tels que le syndrome de la colonne cervicale peuvent survenir vertiges, Maux de tête et juste hypertension artérielle. De plus, une douleur chronique sur les muscles du cou conduit au syndrome de la colonne cervicale augmentation du stress pour tout le corps. Chez l'homme, le stress se manifeste par l'agitation, les troubles du sommeil, la transpiration et aussi par une augmentation de la pression artérielle. Dans de nombreux cas, le traitement de la cause du syndrome de la colonne cervicale peut normaliser la pression artérielle sans avoir à prendre des antihypertenseurs. Souvent, le traitement du syndrome de la colonne cervicale conduit à lui seul à des médicaments analgésiques, anti-inflammatoires et anti-tensions physiothérapie Des exercices, Massages ou Thérapie thermique à une amélioration des symptômes de l'hypertension artérielle.

Étant donné que l'hypertension artérielle peut avoir de nombreuses causes, il faut absolument examen approfondi d'un médecin respectivement. Dans la plupart des cas (environ 95%), l'hypertension artérielle est ce que l'on appelle l'hypertension artérielle essentiellece qui signifie que dans ces cas, aucune cause directe de l'hypertension artérielle ne peut être identifiée.

Syndrome de la colonne cervicale et problèmes cardiaques

Une grande variété de symptômes peut être associée à un syndrome de la colonne cervicale. Ceux-ci comprennent principalement des maux de tête et des douleurs au cou, ainsi que des étourdissements, des bourdonnements dans les oreilles et des engourdissements dans les membres supérieurs.
Les symptômes d'autres systèmes organiques sont également souvent attribués au syndrome de la colonne cervicale. En plus des poumons et des organes digestifs, cela inclut également le cœur. Bien qu'aucune littérature spécialisée ou études actuelles ne soient disponibles, un lien entre des symptômes cardiaques, tels que des palpitations (extrasystole), et un syndrome de la colonne cervicale n'est pas absurde. Les fibres nerveuses du système nerveux autonome, constituées des parties sympathique et parasympathique, courent le long de la colonne vertébrale. Ce système contrôle les fonctions corporelles telles que la circulation sanguine, le péristaltisme gastro-intestinal, la respiration et aussi la fonction cardiaque - indépendamment de toute influence consciente.
Le nerf responsable de l'approvisionnement de la plupart des organes internes (nerf vague) traverse une ouverture dans le crâne des deux côtés le long des artères carotides et plus tard dans l'œsophage vers la poitrine. Il est tout à fait concevable qu'une tension chronique dans les muscles du cou puisse entraîner une irritation du nerf vague et, par conséquent, des trébuchements cardiaques de temps en temps.

Les nerfs sympathiques, la deuxième partie du système nerveux autonome, sont également proches de la colonne vertébrale. Les nerfs qui contrôlent la fonction cardiaque se rassemblent dans la zone de la colonne cervicale pour former un plexus de nerfs et peuvent donc être irrités ou blessés au cours d'un syndrome de la colonne cervicale en raison de désalignements et de blocages des vertèbres cervicales ou d'une hernie discale d'une ou plusieurs vertèbres cervicales. En conséquence, le contrôle sympathique peut se confondre dans un syndrome de la colonne cervicale. Le système nerveux sympathique assure normalement que le cœur bat plus vite et plus vigoureusement, par exemple en cas de stress. Si des blessures à la colonne cervicale irritent ces nerfs, cela peut amener les nerfs menant au cœur à donner de faux signaux. Cela peut entraîner des palpitations, des palpitations ou des arythmies.

Les problèmes cardiaques récurrents doivent être traités principalement en traitant la cause, dans ce cas le syndrome de la colonne cervicale.

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• Coeur qui trébuche dans le dos (douleur)

Doigts sourds

Avec le syndrome de la colonne cervicale, certaines personnes ont parfois les doigts engourdis comme symptôme supplémentaire.

Les deux ou une seule main peuvent être affectés. De plus, tous les doigts d'une main ne sont généralement pas affectés dans la même mesure. La cause du symptôme est que dans le syndrome de la colonne cervicale, les racines nerveuses émergeant de la moelle épinière dans la colonne cervicale peuvent être irritées. Beaucoup de ces voies nerveuses vont aux bras et finalement au bout des doigts. Entre autres choses, ils transmettent les sensations des doigts en arrière via la moelle épinière jusqu'au cerveau, où elles sont perçues. L'irritation de cette manière peut provoquer une gêne telle que des doigts engourdis.

Cependant, comme une autre cause telle qu'une hernie discale ou un nerf pincé dans la main peut également être responsable de ces plaintes, un examen médical doit être effectué en cas de doute.

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Syndrome de la colonne cervicale et psychisme

Le syndrome de la colonne cervicale, comme de nombreuses autres maladies chroniques, est lié à bien des égards à la psyché. De nombreux patients qui souffrent d'une maladie chronique sont diagnostiqués par un médecin comme ayant une cause psychologique à leurs symptômes. Cela est principalement dû au fait qu'une cause physique du syndrome de la colonne cervicale est souvent difficile ou difficile à déterminer et qu'une grande variété de méthodes de traitement est inadéquate. Ceci est associé à une grande frustration tant pour le médecin traitant que, surtout, pour les patients, car ils ont le sentiment de ne pas être pris au sérieux. Néanmoins, le syndrome de la colonne cervicale peut également avoir un fond psychosomatique. Notre état mental (souvent inconscient) a souvent un impact plus important sur notre bien-être physique que nous aimerions l'admettre. Une situation stressante psychologiquement stressante de toute nature peut entraîner une tension dans la région du cou et du cou, qui à son tour déclenche les symptômes typiques du syndrome de la colonne cervicale.

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Durée

La durée des symptômes d'un syndrome de la colonne cervicale dépend entièrement de la cause et de l'étendue de la maladie. Fondamentalement, il est important de reconnaître le déclencheur du syndrome de la colonne cervicale à un stade précoce et d'initier une thérapie individuellement appropriée. Afin de prévenir l'inconfort à long terme causé par un syndrome de la colonne cervicale, la correction de la posture doit être effectuée par des exercices de physiothérapie, la colonne cervicale doit être stabilisée par le renforcement musculaire, les charges incorrectes pendant le sport doivent être évitées et les aspects ergonomiques doivent être respectés dans le travail quotidien.

Si la douleur persiste sans accident préalable, un médecin doit être consulté au plus tard une à deux semaines. En revanche, une visite immédiate chez le médecin est indiquée en cas de troubles sensoriels persistants au niveau de l'épaule ou du bras, des étourdissements, des bourdonnements d'oreilles, des paralysies, des troubles visuels ou après un accident. Si le syndrome de la colonne cervicale n'est pas traité pendant quelques années, l'augmentation permanente de la tension musculaire peut déplacer la position des vertèbres cervicales les unes par rapport aux autres. Cela conduit à une plus grande tension et à l'usure de la colonne cervicale, ce qui se traduit par un rétrécissement de l'espace discal. Les désalignements acquis de la colonne vertébrale peuvent difficilement être normalisés, mais dans la plupart des cas, les symptômes peuvent être atténués.

Si les symptômes s'améliorent en 3 semaines, on parle d'un syndrome cervical aigu (= soudain) de la colonne cervicale. Si les symptômes durent plus de 3 mois, on parle de syndrome du rachis cervical chronique (= persistant). Entre les deux, il y a une sorte de période de transition entre les formes, qui est alors appelée «subchronique». En règle générale, plus les symptômes sont longs, plus le traitement durera. Pendant ce temps, cependant, les personnes touchées ne doivent pas continuer à souffrir de leurs symptômes pour la plupart non négligeables. Dès le début, les analgésiques peuvent et doivent être prescrits par le médecin afin que les personnes touchées soient rapidement indolores et que le traitement puisse ensuite être instauré. Les médicaments qui détendent les muscles procurent également un soulagement rapide supplémentaire. Cependant, les deux médicaments ne conviennent pas pour lutter contre les causes et doivent également être traités de manière intensive.

En résumé, ce qui suit s'applique: le délai avant que la douleur ne disparaisse doit être relativement court, le délai avant que la cause ne s'améliore est considérablement plus long.

La cause d'un syndrome soudain (= aigu) de la colonne cervicale est ce que l'on appelle le «coup du lapin». Un freinage rapide dans les accidents de la circulation entraîne un étirement excessif de la tête, y compris de toutes les structures de la région des vertèbres cervicales. L'étirement massif peut entraîner des blessures aux structures de cet espace. Ceux-ci provoquent alors au patient les plaintes typiques telles que la douleur au cou ou la raideur de la nuque, car les muscles du cou réagissent à ces stimuli massifs avec une tension complète. La guérison de ces dommages détermine la durée des plaintes. Dans de nombreux cas, les blessures guérissent en quelques jours à quelques semaines sans aucun dommage consécutif. Cependant, le coup du lapin peut également se transformer en un syndrome persistant de la colonne cervicale avec des symptômes permanents. Cela doit être évité. Des dommages antérieurs à la colonne cervicale peuvent également retarder le processus de guérison. Les exercices de physiothérapie, par contre, peuvent raccourcir les jours jusqu'à la récupération.

Si des blocages de la colonne cervicale (= plus petits déplacements vertébraux) sont à l'origine du syndrome de la colonne cervicale, même quelques traitements physiothérapeutiques peuvent apporter une amélioration extrême des symptômes. Le moindre déplacement entraîne un déséquilibre dans le système sensible des os, des muscles et des ligaments qui maintiennent la colonne vertébrale dans son fil à plomb. Vous pouvez voir ces effets de manière plus impressionnante dans la tension massive des muscles du cou. De plus, ces changements peuvent également exercer une pression sur les nerfs, ce qui a des effets sous forme de picotements, d'engourdissements, de douleurs, etc. sur diverses parties du corps. Si la cause est maintenant rééquilibrée par un thérapeute ou un médecin expérimenté à l'aide de techniques spéciales, une amélioration immédiate se produit souvent. Le diagnostic d'un blocage cervical est généralement précédé d'une longue histoire médicale. Le succès peut être obtenu grâce à plusieurs traitements de nature différente (par exemple, la chaleur pour détendre les muscles et la physiothérapie). Cela peut également accélérer l'amélioration de la condition. Ici aussi, plus les symptômes persistent, plus les modifications musculaires et ligamentaires sont importantes et plus il faudra de temps pour les ramener à un état presque amélioré.

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• Durée d'un syndrome de la colonne cervicale

thérapie

Le traitement du syndrome de la colonne cervicale vise principalement à relâcher les muscles tendus de l'épaule et du cou afin d'éliminer la douleur. En fonction de la gravité et de l'étendue des symptômes causés par le syndrome de la colonne cervicale, l'option thérapeutique la plus appropriée peut être sélectionnée. Cela doit être fait en consultation avec le médecin traitant ou le thérapeute.

Pour le traitement de la douleur, des anti-inflammatoires et des analgésiques peuvent être utilisés, ainsi que des relaxants musculaires pour soulager les muscles tendus des épaules et du cou.
La soi-disant thérapie papule a un effet analgésique et détend les muscles. Un médicament (par exemple un anesthésique local) est injecté sous la peau au niveau de la zone douloureuse.
Les applications de chaleur locale ont un effet similaire, car les muscles sont détendus et les tensions sont relâchées. Par exemple, des emplâtres chauffants, des crèmes et similaires conviennent pour cela.
L'utilisation thérapeutique des bains (balnéothérapie) peut également apporter un soulagement.

Un massage manuel peut également atténuer les symptômes du syndrome de la colonne cervicale. Les massages sont souvent combinés à des traitements thermiques tels que l'irradiation à la lumière rouge ou des compresses thermiques.
Cependant, si le syndrome de la colonne cervicale réapparaît, les massages sont fréquents insatisfaisant, sous encadrement physiothérapeutique avec des exercices spécifiques, la circulation sanguine dans la région des épaules et du cou doit être améliorée, les tensions supprimées et les muscles renforcés.

La soi-disant iontophorèse (traitement courant de stimulation) offre une option thérapeutique pour le syndrome de la colonne cervicale. L'iontophorèse utilise un courant électrique pour introduire de petites quantités de médicaments de relâchement musculaire dans le tissu sous-cutané. Ce traitement de stimulation électrique prend environ dix à vingt minutes et nécessite plus de répétitions pour obtenir un effet suffisant (au moins six applications). Le traitement d'électrostimulation n'est pas indiqué pour les personnes portant des stimulateurs cardiaques ou des implants métalliques.

Le traitement par ultrasons est une autre méthode thérapeutique contre les symptômes du syndrome de la colonne cervicale. Une tête à ultrasons, d'où émanent des ondes sonores inaudibles, est déplacée par un thérapeute sur les muscles tendus. Ces ondes sonores provoquent des frottements internes dans les tissus et génèrent de la chaleur. Cela crée un soi-disant micromassage qui détend les tensions.

Le succès à long terme du traitement du syndrome du rachis cervical dépend avant tout de la manière dont la personne concernée apprend à éviter une surcharge renouvelée et trouve un exercice adapté qui atténue les symptômes.

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• Exercices sur le syndrome du cou
• Comment soulager au mieux la tension du cou?

thérapie physique

Les tâches et possibilités de la physiothérapie (physiothérapie) couvrent essentiellement trois aspects dans le traitement des plaintes aiguës ou chroniques de la colonne cervicale:

1. Soulagement de la douleur et contrôle de l'état de tension musculaire perturbé (tonus musculaire).
2. Stabilisation et renforcement musculaire ciblé des muscles de soutien de la colonne cervicale.
3. Reconnaître et désactiver les facteurs déclenchants (prophylaxie)

1. Soulagement de la douleur et régulation du tonus musculaire perturbé (état de tension):

Ce sujet est certainement le plus important dans la première phase aiguë de la plainte. La principale préoccupation dans cette phase précoce du syndrome de la colonne cervicale est de lutter contre le problème de la douleur. Dans ce qui suit, seules les options de thérapie physiothérapeutique sont discutées. Pour les options de traitement dans la gamme des thérapies médicales, il est fait référence aux tableaux cliniques individuels.

Souvent, la cause des plaintes est une augmentation de la pression sur les disques intervertébraux, en particulier les vertèbres cervicales inférieures. Cela peut également entraîner une pression sur les racines nerveuses appariées dans le trou intervertébral (neuroforamen) entre deux vertèbres.

Par conséquent, une méthode thérapeutique prometteuse est le soulagement manuel des disques intervertébraux et des racines nerveuses en tirant soigneusement dans le sens longitudinal de la tête (traction).

Une autre option éprouvée pour traiter la douleur consiste à détendre les muscles tendus à l'aide de techniques de massage ciblées. L'accent est mis ici principalement sur le massage de l'épaule-nuque, qui est extrêmement tendu chez presque tous les patients présentant des problèmes de colonne cervicale. L'étirement, également connu sous le nom d'étirement, des fibres musculaires affectées a un effet similaire. Les étirements par un physiothérapeute expérimenté sont certainement plus efficaces, mais vous pouvez également obtenir de bons résultats grâce à l'auto-étirement.

Un type de thérapie qui est souvent utilisé en thérapie manuelle et aussi en médecine traditionnelle chinoise (MTC) est le «traitement des points de déclenchement». Les points douloureux caractéristiques sont traités par un traitement sous pression.

Dans la phase aiguë des symptômes, il est souvent conseillé de compléter les mesures physiothérapeutiques par une application locale de chaleur (ex: fango, lumière rouge, etc.). La relaxation musculaire causée par la chaleur soulage souvent déjà la douleur. Un effet relaxant maximal peut être obtenu si un massage de relaxation suit après l'application de chaleur, car les muscles tendus sont déjà dans un état détendu et sont plus accessibles pour la thérapie.

2. Stabilisation et développement ciblé des muscles de soutien de la colonne cervicale:

Dans le cas du syndrome de la colonne cervicale, cette partie de la physiothérapie ne commence généralement que lorsque la douleur aiguë s'est déjà quelque peu atténuée. Un programme d'exercice musculaire efficace peut renforcer les groupes musculaires affaiblis et ainsi éviter que les symptômes ne se reproduisent, ou au moins réduire considérablement l'intensité de la douleur. Les muscles renforcés se fatiguent moins vite, sont donc surchargés moins vite et offrent ainsi une protection meilleure et plus longue pour les structures non entraînables de la colonne cervicale (disques intervertébraux, articulations vertébrales, etc.)

Tout d'abord, un renforcement isométrique des muscles doit avoir lieu. Dans ce contexte, on entend par isométrie une tension musculaire au cours de laquelle aucun mouvement visible ne peut se produire. L'origine et l'insertion des muscles ne convergent pas. Le patient n'est exposé qu'à une telle résistance qu'il peut réagir sans douleur avec sa performance individuelle.

La bonne intégration de la colonne cervicale dans la posture verticale doit également être élaborée au plus tard dans cette phase de thérapie. L'intégration axiale dans ce cas signifie que la tête est maintenue droite comme une extension de la colonne vertébrale. Un principe important dans le renforcement de l'entraînement dans toutes les zones de la colonne vertébrale repose sur le fait que le dos est stabilisé, c'est-à-dire qu'il effectue un travail de maintien pur et n'effectue aucun mouvement actif. L'effet d'entraînement pour le dos s'installe car les exercices de mouvement actif des bras rendent encore plus difficile la tenue des muscles du tronc.

Avec toutes les plaintes de la colonne cervicale, il faut également se rappeler que la cause de la plainte peut bien être dans d'autres parties du corps. Chaque fois que la douleur au cou survient, la région de l'épaule doit également être examinée. Le rachis thoracique et lombaire (rachis thoracique, rachis cervical) doit également être examiné régulièrement. Un certain nombre de problèmes de douleur dans la colonne cervicale sont en fait causés par une perturbation de la colonne vertébrale sous-jacente.

3. Reconnaître et éliminer les facteurs déclenchants:

Le troisième point du traitement physiothérapeutique des syndromes du rachis cervical, déterminant pour l'effet thérapeutique à long terme, est l'élimination des troubles causaux (prophylaxie). Cela inclut, par exemple, l'apprentissage d'un comportement quotidien respectueux du dos et d'éviter les mouvements particulièrement stressants. Ceci peut être particulièrement bien illustré à l'aide de l'exemple de la posture assise devant l'ordinateur.

Après de longues périodes d'assise, la plupart des gens adoptent une posture de plus en plus «tordue». Souvent, les épaules sont ensuite relevées lors de la saisie sur le clavier, ce qui entraîne une tension typique des muscles des épaules et du cou chez presque tous les patients travaillant à leur bureau. Afin de toujours avoir une bonne vue de l'écran, la colonne cervicale est souvent surchargée, ce qui augmente le problème de la douleur ou peut entraîner d'autres plaintes. Un traitement physiothérapeutique du syndrome de la colonne cervicale qui en résulte et qui promet un succès à long terme ne peut avoir lieu que si une telle inconduite est évitée. Pour ce faire, il est nécessaire d'identifier et d'éliminer une telle inconduite.

Même des changements mineurs dans l'environnement de travail ou dans la vie quotidienne apportent souvent un soulagement significatif des symptômes. Par exemple, le positionnement défavorable du moniteur lorsque vous travaillez uniquement sur l'ordinateur peut être la principale cause de tension douloureuse dans les muscles du cou et du cou. Heureusement, les choses ont changé pour le mieux dans ce domaine ces dernières années. De nombreuses entreprises essaient de rendre les conditions de travail aussi favorables que possible pour le dos. Le mot-clé «ergonomie au travail» devient de plus en plus important pour éviter les maux de dos chroniques (comportement quotidien favorable au dos / école du cou). Les médecins d'entreprise participent à la mise en place d'un poste de travail ergonomique dans de nombreuses entreprises.

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• Physiothérapie pour un syndrome de la colonne cervicale

Ostéopathie

L'ostéopathie est une méthode de traitement qui peut être attribuée à la médecine alternative. La philosophie de l'ostéopathie stipule que la personne est traitée dans son intégralité et que les troubles sous-jacents des affections sont traités de manière à rétablir une harmonie énergétique et fonctionnelle naturelle.
Dans un traitement ostéopathique d'un syndrome du rachis cervical, la posture du corps et de la tête de la personne concernée est d'abord évaluée debout et assise. La tension du tissu conjonctif est testée sur toute la surface du corps et les muscles tendus sont ressentis. La restriction de mouvement causée par le syndrome de la colonne cervicale est vérifiée dans une comparaison côte à côte.
La thérapie ostéopathique consiste alors en une combinaison de rotations de la tête, de tension musculaire par la personne touchée et de mouvements précis de la colonne cervicale par l'ostéopathe.
En règle générale, chaque vertèbre est traitée individuellement et les articulations adjacentes telles que l'épaule sont examinées et traitées pour une mobilité réduite. Une fois les blocages osseux résolus, le traitement ostéopathique consiste à relâcher les tissus mous adjacents, les muscles, les ligaments et le tissu conjonctif.

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• Ostéopathie dans le syndrome de la colonne cervicale

Homéopathie pour le syndrome de la colonne cervicale

Le traitement du syndrome de la colonne cervicale est souvent très fastidieux et ne donne que des résultats insatisfaisants. Pour cette raison, de nombreux patients ont recours à des alternatives naturopathiques après des tentatives infructueuses de médecine conventionnelle. Tout d'abord, au sujet de l'homéopathie pour le syndrome de la colonne cervicale, il faut mentionner qu'il n'y a pas d'études significatives sur les effets des remèdes homéopathiques en général. Les fondements théoriques de l'homéopathie (comme le principe de potentialisation) contredisent même les connaissances chimiques et physiques actuelles. Dans le même temps, les remèdes homéopathiques proposés ne sont pas réglementés par la loi sur les médicaments actuellement applicable, mais sont soumis à leurs propres réglementations scientifiquement injustifiables.

Néanmoins, un certain nombre de remèdes homéopathiques différents sont disponibles pour traiter le syndrome de la colonne cervicale. Selon la cause, la qualité et la localisation de la douleur ou de la tension provoquée par le syndrome de la colonne cervicale, des préparations telles que Rhus toxicodendron, Actaea racemosa, Arnica ou Bryonia sont utilisées. Des informations plus détaillées à ce sujet peuvent être obtenues auprès d'un praticien alternatif dûment formé.

Cependant, la prudence est de mise dans tous les cas si la douleur s'intensifie ou s'aggrave de manière aiguë. Dans ce cas, il est toujours conseillé de consulter un médecin.

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Remèdes maison

Divers remèdes maison simples ont été essayés et testés pour soulager les symptômes causés par un syndrome de la colonne cervicale.

Beaucoup visent le traitement thermique de la région touchée de différentes manières afin de soulager la tension musculaire. Lors de la douche, par exemple, de l'eau chaude avec un jet moyen d'eau chaude peut être dirigée spécifiquement vers le cou pendant environ cinq minutes. Une irradiation à la lumière rouge jusqu'à trois fois par jour pendant environ dix minutes à chaque fois convient également.

D'autres remèdes maison simples mais efficaces sont des exercices de mouvement qui doivent être effectués régulièrement et qui ne nécessitent aucune aide supplémentaire. Dans le soi-disant cercle de moulin, les bras étendus sont déplacés dans des directions opposées dans de larges cercles en position debout et guidés près du corps. La direction devrait être changée de temps en temps.

Exercice pour un syndrome de la colonne cervicale

Des muscles du dos et du cou forts et détendus constituent la base pour guérir complètement un syndrome de la colonne cervicale et l'empêcher de se développer à nouveau. Par conséquent, l'activité physique et l'exercice sont expressément recommandés dans le syndrome de la colonne cervicale.

Cependant, si vous avez des problèmes de colonne vertébrale, vous devez bien choisir le sport, car un sport trop fatigant ou stressant pour votre colonne vertébrale peut sinon déclencher un syndrome de la colonne cervicale. La natation brasse, par exemple, doit être évitée, car elle peut rapidement tendre les muscles du cou et causer des problèmes au niveau de la colonne cervicale. Un type de nage approprié est la nage sur le dos. Le dos et la colonne vertébrale en général sont renforcés et le cou est soulagé.

De plus, les sports nautiques n'endommagent pas les articulations de la colonne vertébrale comme cela peut être le cas, par exemple, lors du jogging. Le yoga est également très approprié pour renforcer les muscles du dos. Le yoga aide également à réduire le stress émotionnel, qui peut également déclencher des tensions dans le cou et le dos. D'autres sports appropriés sont, par exemple, la randonnée et la marche, mais aussi la musculation douce. Dans tous les cas, l'activité physique doit toujours être adaptée au niveau de forme physique individuel.

Vous pouvez trouver plus d'informations sur ce sujet à l'adresse: Exercices dans le syndrome de la colonne cervicale

Conseils pour la maison

Lorsqu'il s'agit d'auto-traitement du syndrome de la colonne cervicale, les symptômes et la phase respective de la plainte sont les critères décisifs du traitement.

Tout d'abord, quelques mots sur les possibilités de soulagement de la douleur pendant la phase aiguë. Il faut garder à l'esprit que la perception de la douleur est différente pour chaque personne. Ce qui signifie déjà une douleur insupportable pour l'un, peut encore tolérer relativement bien l'autre. En conséquence, les conseils suivants et les résultats qui en résultent sont bien entendu perçus différemment par les patients individuels. Il ne faut pas non plus s'attendre à une «panacée», car toutes les formes de traitement ne sont pas également efficaces pour tous. L'avantage commun de toutes les thérapies physiques et physiothérapeutiques est la bonne tolérance des formes de traitement utilisées. Les effets secondaires indésirables sont presque nuls.

Les applications thermiques (thérapie par la chaleur / le froid) représentent un groupe important de mesures de traitement physiothérapeutique pour le syndrome de la colonne cervicale.

Contrairement à la thérapie par le froid, les applications de chaleur (thermothérapie) sont utilisées beaucoup plus fréquemment dans le syndrome de la colonne cervicale. Il s'agit d'une forme de thérapie très efficace et adaptée à l'auto-thérapie à domicile.

Les possibilités à la maison sont, par exemple, l'utilisation de divers oreillers en grains (oreillers d'épeautre, oreillers en cerisier, etc.), qui sont chauffés au micro-ondes puis placés sur les zones douloureuses. Quiconque possède une lampe à lumière rouge peut également l'utiliser correctement.

Les applications thermiques moins connues mais très efficaces sont ce que l'on appelle le «rôle chaud». Tout d'abord, de l'eau chaude est versée dans une serviette roulée en forme d'entonnoir. Tamponnez ensuite les zones douloureuses du corps avec la serviette humide. L'avantage par rapport à un oreiller à grain ou à une bouillotte est que cette chaleur humide promet un plus grand succès de guérison.

La deuxième possibilité quelque peu oubliée de la thérapie par la chaleur est de faire une compresse à partir de pommes de terre en veste bouillies. Les pommes de terre bouillies sont un peu écrasées et placées dans un chiffon, qui ne doit pas être trop épais, pour laisser passer suffisamment de chaleur (par exemple torchon, torchon en lin). Ce chiffon est ensuite placé sur les zones douloureuses du corps et laissé là pendant un certain temps. L'amidon contenu dans les pommes de terre élimine les «déchets» métaboliques des muscles. La durée et la fréquence des différentes applications de chaleur dépendent entièrement des sentiments personnels. En principe, il n'y a rien à dire contre la thermothérapie quotidienne.

Les utilisations possibles de la thérapie par le froid (cryothérapie) sont plutôt limitées dans le syndrome du rachis cervical. Ce n'est que dans quelques cas exceptionnels qu'il dispose d'une autorisation, par ex. dans une surchauffe inflammatoire des muscles. Dans ce cas, les muscles doivent être refroidis, mais je voudrais recommander expressément et fondamentalement une méthode «douce». Je déconseille fortement d'utiliser de la glace ou même d'utiliser du spray à glace. Les températures inférieures à zéro ne sont en fait plus utilisées dans la physiothérapie moderne. Une possibilité d'application judicieuse du froid serait, par exemple, une thérapie avec des chiffons froids et humides.

Les packs Quark sont un remède maison éprouvé depuis des années et constituent un bon moyen d'abaisser les muscles surchauffés à une température physiologique (normale). Le quark commercial est appliqué sur la zone enflammée et recouvert d'un chiffon. Après environ 15 à 20 minutes, le quark est simplement supprimé à nouveau.

En cas de forte tension dans les muscles du cou, il vaut la peine d'essayer de se détendre avec un auto-exercice basé sur le principe du traitement des points de pression. Ce traitement n'est pas tout à fait agréable au début, mais il est extrêmement efficace pour certaines causes de douleur (ex: gonflement musculaire douloureux). Les balles de tennis qui sont d'abord placées sur le sol conviennent à l'auto-traitement. Maintenant, vous vous allongez sur le dos sur le sol et allongez-vous avec vos muscles tendus directement sur les balles de tennis. Cette pression est assez douloureuse et inconfortable au début, mais après un certain temps, l'inconfort disparaît et les muscles commencent à se détendre.

Médicament

Une thérapie purement physiothérapeutique et physique peut ne pas être suffisante, en particulier dans les phases aiguës de la douleur. Ici, l'utilisation d'un traitement médicamenteux supplémentaire est nécessaire. Cela doit toujours être discuté avec votre médecin traitant! De cette manière, les effets secondaires indésirables et les complications peuvent être minimisés et toute intolérance / contre-indication discutée.

Dans le cas d'un syndrome de la colonne cervicale, les médicaments sont souvent utilisés pour un traitement à court terme. Dans la plupart des cas, des analgésiques et des comprimés anti-inflammatoires sont prescrits. En soulageant les symptômes, ceux-ci devraient aider à garantir que l'activité et le mouvement naturels sont possibles afin de relâcher la tension musculaire habituellement sous-jacente.

D'autre part, les analgésiques ne conviennent pas pour une utilisation à long terme en tant que traitement à long terme en raison d'effets secondaires dangereux sur une période de plus de quelques jours. Certains médecins prescrivent également des médicaments relaxants musculaires directement, bien que leur utilisation dans le syndrome de la colonne cervicale soit controversée. Il en va de même pour l'injection de médicaments tels que les anesthésiques locaux directement dans les muscles du cou ou aux points de sortie des nerfs. La plupart des médecins déconseillent aujourd'hui de telles procédures car l'effet n'est que de courte durée et le traitement est associé à des risques tels que le risque d'inflammation. Le soulagement à long terme d'un syndrome de la colonne cervicale ne doit pas être obtenu par des médicaments, mais par un exercice sain suffisant et des applications occasionnelles de chaleur.

Les médicaments appropriés pour traiter le syndrome de la colonne cervicale sont:

• AINS
• Ibuprofène
• Diclofénac
• Celebrex
• Paracétamol
• Novalmine sulfone
• Tramadol
• Valoron
• Katadolon
• Griffes du diable
• et beaucoup plus

Avoir un effet relaxant musculaire:

• Mydocalm
• Diazépam

diagnostic

Le syndrome de la colonne cervicale décrit une combinaison incohérente de différents symptômes qui peuvent être causés par des tableaux cliniques très différents. Par conséquent, il n'y a pas d'examen permettant de poser le diagnostic.

Au lieu de cela, lors du diagnostic, il est initialement exclu qu'il existe un autre tableau clinique spécifique. S'il n'y a aucune preuve de cela, le diagnostic de syndrome de la colonne cervicale peut être posé en cas de plaintes inhabituelles dans le cou, la colonne cervicale et la région des épaules. Lors de la présentation au médecin, les premières étapes sont donc les plus importantes pour la suite de la procédure. D'une part, lors de l'entretien médical (anamnèse), on demande exactement quels symptômes sont présents, depuis quand ils existent, ce qui les déclenche et si nécessaire les atténue.

En outre, un examen physique ciblé a lieu, au cours duquel le médecin prête attention aux éventuels désalignements, tensions et réactions inflammatoires. En fonction des résultats de l'anamnèse et des examens physiques, le médecin décidera si d'autres diagnostics sont indiqués pour clarification ou pour exclure d'autres causes, ou si le diagnostic d'un syndrome de la colonne cervicale peut être posé. Il est important d'informer le médecin de vos propres idées ou préoccupations concernant les symptômes que vous avez ressentis.

IRM

Une IRM (tomographie par résonance magnétique) ne doit pas être utilisée régulièrement dans le diagnostic d'un syndrome de la colonne cervicale. Un syndrome de la colonne cervicale peut être diagnostiqué s'il n'y a aucune preuve d'une cause grave des symptômes ou des causes des symptômes nécessitant un traitement spécifique. Dans un tel cas, une IRM ne montrerait généralement pas de résultats anormaux.

Une IRM ne doit être utilisée que si ce diagnostic complexe est associé à une conséquence pour le traitement du patient. Cela peut être le cas, par exemple, si le médecin soupçonne, sur la base d'une constatation anormale à l'examen physique, qu'il existe une hernie discale prononcée qui pourrait devoir être opérée ou si une blessure à la colonne cervicale doit être exclue en raison d'un accident. Souvent, cependant, une simple radiographie ou une tomodensitométrie (CT) est effectuée en premier.

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